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Introduction
La religion de Scientologie
Le garant du futur de la Scientologie
David Miscavige Président du conseil d'administration de RTC
Les sujets qui intéressent RTC

C’était donc l’année 1950 : des bombes de plus en plus grosses ; la psychiatrie de la guerre froide générant la terreur ; et une population vivant dans l’ombre d’un nuage en forme de champignon. Et ne vous méprenez pas, c’était bien la scène mondiale dans laquelle Ron Hubbard présenta La Dianétique.

Alors que nous sommes rassemblés ici à la veille de l’an 2000, quand je me réfère au « Livre Un », il se peut que vous pensiez instantanément à « un manuel d’audition ». Mais vous ne pouvez pas oublier cette vision du monde de 1950, et le véritable but du Livre Un : l’éradication de la source de l’aberration, qui avait amené la planète dans l’état où elle se trouvait en mai 1950. Et pour vous prouver que c’était bien le but de LRH, voici une fois de plus le tout premier paragraphe de La Dianétique : « L’homme est à la recherche d’une science du mental depuis des millénaires. Des armées, des dynasties, des civilisations entières ont péri, l’Empire romain a fini en poussière, la Chine a connu un bain de sang sans précédent. Ignorant l’existence d’une telle science, dans l’arsenal, une bombe atomique attend sa chance. »

En fait, grâce à la découverte du mental réactif en tant que source des tourments de l’homme, et de l’audition en tant que solution, LRH donna aux peuples de la Terre une « arme » bien plus puissante que la bombe atomique. Alors que représentait la Dianétique pour une population de 1950 qui scrutait nerveusement les cieux à l’affût des ogives nucléaires ? Pas juste un éclair jailli du néant, La Dianétique était un éclair de bénédiction du paradis lui-même !

Et c’est là que résident les étincelles derrière ces termes « boum du Livre Un » et « feu de brousse populaire ». Et tandis que ce feu se propageait dans toute l’Amérique, les journaux dans des villes telles que Houston au Texas allaient très vite rapporter ceci : « Les vendeurs de livres étaient toujours étourdis de surprise, mais pas assez étourdis pour oublier de commander d’autres exemplaires de la révélation qui faisait rage parmi le public local. » Et pourquoi était-ce une surprise ? Eh bien, il s’agissait d’un livre sans critiques zélées de la part du New York Times, et sans « soutien » de l’establishment. En outre, le livre était publié par un petit éditeur de manuels, certainement pas du genre à produire des best-sellers. Et pourtant, La Dianétique se vendait mieux que n’importe quel autre livre en rayon.

Mais il y avait quelque chose d’unique à l’histoire du Livre Un, et c’est ce qui causa vraiment des remous dans les hauts lieux de l’establishment : ce n’était pas simplement un livre que l’on lisait et que l’on mettait sur les étagères du salon. Au contraire c’était un livre qui générait une tempête d’activités dans tout le pays. Les gens ne se contentaient pas de le lire, ils l’appliquaient.