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La religion de Scientologie
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David Miscavige Président du conseil d'administration de RTC
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Mais si l’impact du Livre Un s’avéra être une surprise pour les autres, pour LRH, ce fut un raz de marée. Les chiffres étaient les suivants : deux mille lettres en mai 1950, et deux cents chaque jour après cela, en juin, juillet et août, soit plus de 18 000 lettres. Finalement, voilà un livre qui amenait les gens littéralement jusqu’à la porte de LRH, à Elisabeth dans le New Jersey, où ils remplissaient son salon, ne laissant aucune place assise – un livre qui redéfinissait sa vie ainsi : elle n’allait plus jamais lui appartenir. En fait, en l’affaire de quelques semaines, le flot d’étudiants était tel qu’il dut louer une deuxième, puis une troisième maison. Ensuite, il forma la Fondation Hubbard de recherche de Dianétique.

Pendant la même période, à la fin de 1950, plus de 250 000 autres personnes avaient audité leurs amis et famille, jusqu’à ce que les journaux rapportent ceci : « Voilà qui apportera le “règne de la raison”, si longtemps recherché, aux problèmes locaux et mondiaux de la politique, de la communication, du droit, et de presque toutes les autres activités humaines – le but d’une quête de trois mille ans. » Et tout cela n’était que le commencement : le Livre Un, en 1950.

Bien sûr, il existe une histoire parallèle à tout ce que je viens de vous dire, et c’est l’histoire des recherches et des développements faits par LRH. Parce qu’après tout, la Dianétique était uniquement un début, et les paroles finales de LRH n’auraient pas pu être plus appropriées : « Pour l’amour du ciel, retroussez vos manches et construisez un meilleur pont ! »

Le Livre Un avait détaillé l’anatomie du mental et des images mentales qui forment le « mental réactif ». Mais comme LRH le disait, la question cruciale restait celle-ci : « Qui ou quoi regarde les images ? » Et c’est cette réponse qui devint l’objectif principal des recherches de LRH.

Les premiers indices apparurent durant l’été 1950, quand des préclairs commencèrent à se rappeler des incidents de vies passées. Et à cet égard, non seulement les incidents antérieurs à cette vie apparaissaient avec une régularité de plus en plus grande, mais surtout les cas avançaient uniquement quand on s’occupait de ces incidents provenant apparemment de vies passées. Ou, comme LRH le déclara plus tard : « Tout le monde savait qu’on ne vit qu’une fois, et l’échauffourée qui s’ensuivit à propos des morts passées empêcha toute recherche à leur sujet durant à peu près 6 mois, simplement parce que chaque préclair auquel je demandais d’en parcourir une était rapidement et immédiatement invalidé et cela le rendait malade d’être invalidé.

« J’ignorais pourquoi cela rendait une personne si malade. Vous pouvez invalider un engramme. Cela ne la rendait pas très malade. Mais si vous invalidiez une mort passée, oh ! »